Paris Carnet 2ème!
Hier soir, j’ai rejoins plein de joyeux bloggueurs (et autre non bloggueurs) pour parler de tout et de rien.
J’ai passé une très bonne soirée à retrouver des gens que je connais et rencontrer des gens que je ne connais pas (elle, lui, et lui et lui). J’ai mangé un gateau au chocolat fait par lui. Et je remercie Nawal d’inviter ses accolytes de chant non bloggueurs avec qui on se marre bien (et cette fois-ci j’ai retenu leurs prénoms).
C’est surtout mon retour qui ne s’est pas très bien passé…
Encore une fois je remercie la SNCF de la solidarité entre cheminots et de leur oubli total des usagers.
J’arrive à Denfert prendre mon rer B et retourner dans mon si joli 93. Sauf que, « Suite à l’agression d’un conducteur, le trafic est terminé », plus de RER B, rien, fini, zeubi wallou, queudchi… Je relativise, no prob’ bob : Plan B! Je peux prendre la ligne 5 jusqu’à Bobigny, je chope un tacot et je rentre tranquillou.
Hé hé hé, c’est joli sur le papier. Mais à 1h30 à Bobigny, y’a pas de taxi. Quand on appelle les Taxis G7, ceux ci ont besoin d’un nom de rue et d’un numéro pour vous envoyer un taxi. Chose inexsitante au centre administratif de Bobigny, il n’y a que des noms de batiments et pas de numéro… Alors quand « Jean Pierre » me répéte pour la énième fois, « ceci n’est pas un numéro de rue correct » je me dis qu’avec un serveur vocal, j’aurais eu plus de chance et qu’il aurait sans doute fait preuve d’humanité…
Car le souci, c’est que je flippe. Bobigny, a cette heure ci, c’est de la testostérone à gogo et du cuvage en règle. Ben oui, malgré tout, je ne suis qu’une fille.
Au final, un noctilien s’est pointé et j’ai pu rentrer chez moi.
2h30 après être partie de Paris Carnet.
Je crois qu’il faut que j’habite Paris.
Définitivement.
